Canicule mondialiste : le coup de chaud des "climatologues" médiatiques
16 août 2018 11:16, par eliot
La théorie climatique au service du gouvernement mondial. Vu le peu de moralité de son vulgarisateur initial, le sénateur Al Gore, devenu par suite expert en produits financiers "climatiques", et aujourd’hui fort peu visible sur la toile (ne serait il pas opportun de lancer un avis de recherche des fois qu’il aurait été percuté par un iceberg ?), on peut le craindre visiblement. Cet angle d’attaque des mondialistes est fructueux parce que clivant. Leurs opposants apparents en viennent à hurler contre Trump parce qu’il semble opposer un barrage aux réalistes statisticiens dont nous avons cet élément co-nobélisé en France particulièrement convaincu. L’envahissement de l’écologie politique par les conspirateurs mondialistes, a bien été analysé par Meyssan depuis la décade calamiteuse qui nous précède et les techniques de guerre invasive sont les mêmes que pour chaque thématique sociétale, à base quasi exclusive de propagande et de corruption d’experts. Je me souviens très bien de la vague initiale d’alerte aux populations en 2007 ou les politiques nationaux d’abord,se devaient d’aller assister aux projections officielles sous peine de paraître à la masse, vague déferlante en province ensuite,avec dans les salles de véhémentes représentantes du sénateur en question chargées de neutraliser toute remarque non concordante et de désigner à la vindicte générale tout auditeur l’ayant innocemment proférée. L’affaire ayant été probablement juteuse pour quelques uns, même si certains négociants en droits carbone sont légèrement inquiétés pour tenter de contenir les remises en doute du type de votre excellent article, on a même tenté le remake, sorte de "Maman, j’ai fondu mes tongs 2" avec :
en 2017 par : Une suite qui dérange : Le Temps de l’action, réalisé par Bonni Cohen et Jon Shenk. Bonne nouvelle pour les animaux, non ?