Immigrationnisme forcené : Terra Nova veut institutionnaliser l’accueil des migrants en Europe
20 octobre 2018 09:45, par bvc
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Si le conjoint ne chôme plus, l’enfant devra être confié à de tierces personnes : crèche, assistants. Là encore, l’Etat intervient.
La dépense de ce couple dans une société libérale se monte, à la volée et a minima, à 1200 + 800 alimentation, frais courants, + 800 pour la garde de l’enfant, école ou crèche incluse. Pour subsister de façon presque autonome, le couple doit gagner 2 800 euros à 3000 euros.
Or l’unique salarié de la famille gagne 1200 euros, sans pouvoir assumer ses devoirs de parent ni de conjoint (temps passé avec eux, pour eux). L’Etat paie donc la différence, soit 1600 euros. En fait, plus pour certains secteurs positivement discriminés de la population, couverts de cadeaux.
La société employeuse, à condition bien sûr qu’elle ne soit pas écrasée d’impôts, donc forcément une société de taille internationale, n’y trouve que du bénéfice en période de chômage, et donc entretient le chômage par l’apport permanent de preneurs de bas salaires.
Pour des jobs macdo, des étrangers pauvres peuvent convenir. Pour des emplois qualifiés, non. C’est là que le bât blesse.