Néoténie, gentillesse et carriérisme : les ravages de l’hypergamie féminine
18 décembre 2018 20:13, par kabouli
C’est un peu lourdaud comme argumentation. La nature est un donné sur lequel l’homme va jouer et non pas être dépendant. L’homme n’est certainement pas un animal luttant contre des concurrents pour s’approprier ces seins dans un libéralisme sexuel.
Ce ne sont pas les seins ou tout autre partie du corps de la femme qui intéresse l’homme mais le raffinement ou le rite qu’il suscite. C’est l’humanité de la femme que l’homme vise et ses seins ou tout autre partie de son corps ne prennent leur sens que par cette humanité. C’est pourquoi l’homme peut aller jusqu’à aimer une vierge ( la Vierge ) et que le christianisme exalte la sexualité plutôt qu’il ne l’a rabaisse comme les pense les imbéciles.