La Commission européenne veut placer l’Italie en déficit budgétaire excessif
7 juin 2019 02:53, par PabloOn prend ce genre d’injonction pour de l’argent comptant ou,plutôt,pour une parole biblique,indiscutable ,qui a la force de la vérité et la solidité de l’évidence. Or,ces États du vieux continent ne sont pas tombés de la dernière pluie. On a affaire à des États structurés,démocratiques,gérés par des experts bardés de diplômes. Ne planifiant que des"projets rentables". Les budgets étatiques sont"rigoureusement"équilibrés. Le commerce extérieur avec n’importe quel pays étranger,est vite équilibré pour assurer,au pays,des entrées de"devises" pérennes et sans surprise. Les crédits bancaires,contractés auprès des banques,sont regardés au microscope et sous tous les angles. Tout est réglé,comme on règle une horloge atomique. Et tout y est filtré : rentabilité financière,économique,création d’emplois permanents et saisonniers. Tout cela,évidemment,en mettant en priorité le remboursement,du principal et intérêts ( les banquiers et politiques diraient"service de la dette",pour éviter de recourir au terme"intérêt bancaire",ça fait pas très gai..)
Enfin,comment un tel système,si parfait,a pu dégénérer en risque d’incendie,menaçant de se durcir en apocalypse planétaire ?Comment les"experts",pourrait expliquer un tel imbroglio,pour ne pas dire autre chose ? Jusqu’à nouvel ordre universel,inversant le sens de rotation des planètes,étoiles et galaxies : "un",ajouté à un autre solitaire"un", fera toujours deux. Pas un milliardième de boson en moins,ou en plus.
Ne venez pas,s’il vous plaît,nous brouiller avec les interminables contes sur ceci est imputable à ce"courant"de gauche,ou de"droite",ou de"centre-droit" ou de"centre-
gauche",ou à mettre au dos des"verts",ou tout autre amoureux de la fragile mère nature,etc...Ces arguments ne tiennent pas,pour la simple raison que quels que soient nos croyances,nous revenons toujours à cette vérité éternelle : "un"plus"un"font éternellement"deux"...
Alors,où se cache le mystère ? Un jour,il va falloir nous expliquer,nous pauvres et humbles citoyens,comment s’évapore une substance qui n’est pas chauffée jusqu’à la sublimation ?...Ou alors,force est de constater que,parmi nous,se cache un mystérieux escroc,qui inhibe nos facultés intellectuelles,et surtout écrase notre dignité d’hommes, seule force en mesure de nous libérer de la peur absurde et tragique,celle qui dénoue nos langues pour nous laisser entonner du fond de nos âmes : c’est lui....