Une féministe trouve au cinéma français une tendance à la pédophilie et à la culture du viol
15 juin 2019 21:51, par Zorro Boléro
D’abord, Delphine Chedaleux ne parle pas en donnant le nom du personnage "Henri Serin", elle dit "Marielle", le nom de l’acteur, comme si elle ne savait pas distinguer le personnage de l’acteur... Cela pose déjà question sur l’état de l’enseignement supérieur en France, comment une "doctorante" peut-elle être aussi intellectuellement médiocre ? Cela n’est pas un registre de langage universitaire, un tel magma correspond plus au à l’heure de de fermeture des bars du côté de Saint-Germain ou d’Oberkampf... Ensuite : "Il y a une scène de viol hors-champs, hein... Marielle va la sauver... parce qu’elle est complètement conne... elle reste avec ce type sans se débattre... c’est pas ça la scène de viol..." Il n’y a pas de viol et elle se force elle-même à le reconnaître : c’est un homme jaloux d’un autre homme qui se tape une femme attirante... Rigoureusement le même schéma dont Jospeh Losey fit le scenario de son film Accident (1967), et mille autres artistes le sujet de leur oeuvre. La phrase "Marielle va la sauver" est un sommet dans le crétinisme féminin, fleur bleue, Harlequin, le pire du romantisme dégoulinant de rose et hamiltonien de toujours, pas seulement des années 70, c’est aussi du bovarysme pur et dur... l’éternel crétinisme féminin...