Cher Adolf si vous me lisez,
je viens de lire votre lettre ouverte et j’avoue être profondément touchée de - je vais pas écrire "l’humanisme", alors je vais dire - la générosité qui s’en dégage. Cette lettre parle autant de vous et de qui vous êtes que de Chouard, et perso, je l’ai trouvée d’une justesse peu commune. Comme je l’ai lu dans les commentaires "main tendue, mais ferme".
Cher Etienne Chouard, si vous me lisez : comme Adolf l’écrit, plus il y aura d’écho dans les médias, plus les montagnes se resserreront sur vous ... La culpabilité et le pardon, l’homme en un mot, c’est déjà trop flou à ces altitudes-là. Au-dessus, c’est le soleil.... Vert, si vous connaissez le film.
Il est temps de penser stratégiquement à une défense, ou une attaque, et de faire des choix, M. Chouard. Le monde des Bisounours existe, il est d’extrême gauche. Ils lavent plus banc que blanc, vous connaissez la chanson ... La morale irréprochable, ce seront, ce sont déjà eux ... Ce sont d’ailleurs avec tout autant d’ardeur les premiers à déguerpir au moindre problème, à la moindre suspicion de différence. Leur tolérance s’arrête précisément là.
Et, le cul entre deux chaises comme on dit, ben on finit par tomber ... Alors malheureusement, vous qui ne vouliez pas choisir : il va falloir le faire. Car, sinon, vous l’avez compris, ils le feront pour vous.
L’avantage avec les parias, les vauriens, les fachos et autres exclus des temps modernes, c’est qu’ils ne vous jetteront jamais la première pierre.... Mais bon, on va m’accuser de prosélytisme ^^ Alors en votre âme et conscience, prenez un chemin, et ne vous retournez pas.
A certains commentateurs : cessez un peu de cracher votre venin sur Chouard.Cet homme a le mérite de défendre ses idées en public, pour sauver votre couenne en privé, et pour dire le fond de ma pensée : votre ingratitude n’a d’égal que votre lâcheté.