FaceBook n’est pas directement au service du renseignement américain. Marc MontagnDeSucre est actionnaire majoritaire. En théorie, il ne dépend de personne. A tel point qu’il s’était permis de jouer double jeu lorsque le réseau soutenait officiellement Hillary, mais par derrière alimentait Cambridge Analytica au service de Trump et Bannon. Ayant ainsi été le faiseur de roi, mais juste au plan technique, il s’est ensuite imaginé présidentiable.
Quelques séances de thérapie - en audition devant une Commission du Congrès Américain - ont permis de traiter cette spectaculaire hypertrophie du bulbe.
Tout ça pour dire que, oui, aux US il est au service du deep state, et de ce coté de l’Atlantique il est très achetable par les gouvernements, en lui maintenant son privilège fiscal (c’est son grisbi à lui qui est en jeu. Il est le propriétaire de la boite avant tout).
J’avais déjà déjà parlé de ça en commentaire, lorsque Drouet venait de dénoncer les manifs GJ qui partaient dans le n’importe quoi. J’affirme qu’une modification calculée des algorithmes de FaceBook permettaient de déclencher l’éparpillement. Et le Zuck était déjà en contact en Macron.
Comme disait je sais plus qui : "L’infrastructure détermine la superstructure". Le principe signifie aussi que par exemple sans l’invention de la radio, il n’y aurait eu ni un Mussolini, ni un Hitler, ni un De Gaulle.
La radio permettait au Pouvoir de parler directement aux masses. Mais elle obligeait à tenir un discours unique, qui était forcément le même pour chaque personne réceptrice du discours.
Facebook plus le big data permettront d’individualiser le message. Autrement dit le pouvoir est en mesure de gérer l’opinion des masses, mais à la différence de la radio, les masses pourront être divisées en des centaines de communautés, chacune avec ses propres obsessions, et donc incapables de surmonter cette fragmentation du peuple.