Les femmes sous pilule présentent "une différence spectaculaire" dans leur cerveau
10 décembre 2019 21:22, par citharauror
En décodage biologique, pour faire le plus simple possible, il est impératif de demander à une femme si elle prend la pilule ou est ménopausée... car dans ces cas elle doit être "vue" comme si elle était un homme ; c’est-à-dire inversée par rapport aux autres femmes dans son comportement face à tout conflit, celui-ci étant toujours à l’origine d’une pathologie quelle qu’elle soit. Un exemple : elle fera un conflit de territoire de la même manière qu’un homme. En suivant rien que cet exemple précis vous comprendrez aisément pourquoi une harmonie dans les couples (homme-femme) va être plus délicate à trouver voire impossible. A moins qu’elle trouve un homme plutôt efféminé... évidemment. Et là le "rapport" s’inverse : on dit qu’elle porte la culotte, expression qui recouvre une vérité bien réelle au niveau du cerveau. Pour ceux que le sujet intéresse, il suffit de lire des ouvrages de décodage biologique, en général pédagogiques. Car le but n’est pas de résoudre le conflit à la place de la personne mais de l’aider à voir donc sa-voir quel est ce conflit ou ces conflits qu’elle ne solutionne pas et qui la rende malade afin qu’elle trouve enfin une solution. Evidemment les laboratoires pharmaceutiques n’y trouvent pas vraiment leur ... compte. Soit dit en passant, les conflits se voient tous au niveau du cerveau donc la "découverte" dont parle l’article ci-dessus... fait bien rire ! Ne dit-on pas "au pays des aveugles, les borgnes sont rois ?" .