Harcèlement (homo)sexuel : l’UPR veut débarquer son chef François Asselineau
23 avril 2020 15:28, par Mami Wata
Asselineau bisexuel ! Ça alors ! Lui qui aime tant les Africains. Il faut donc qu’il sache qu’au Nigeria, celui qui est reconnu coupable d’homosexualité encourt la peine de mort. Au Cameroun voisin les autorités y sont plus qu’homophobes, elles sont "homovores" comme dirait Dieudo.