"Paris : des bobos organisent une fête de rue, la police les reconfine gentiment.
Ailleurs : lacrymo-plaquage-GAV.
Le privilège de classe en image."
C’est vraiment un merdeux ce Porcher, dans cette affaire, il s’agit moins de privilège de classe que de haine de classe, de sa part à lui.
Haine de classe largement fantasmée car sur un plan socio-économique il est plus proche de ces "bobos" que des prolétaires de banlieue et de la province.
Recréer un peu de convivialité, que l’on soit à Paris ou ailleurs, est une démarche salutaire dans un pays au bord de l’asphyxie.
Évidemment quand on accueille pas les flics au mortier ou sous les insultes, on risque moins un gazage qu’une amende et un sermon insupportable.
Les fuyards parisiens méritaient quelques quolibets, pour le reste, il n’y a aucune raison d’opposer les français qui subissent tous cette situation.