Violences à Dijon : pour le président tchétchène, Ramzan Kadyrov, "les actes étaient corrects"
21 juin 2020 12:40, par Julien
Déjà toute la semaine le traitement médiatique de cette affaire a été partial et globalement défavorable aux tchétchènes.
Entre l’État français, les relais journalistiques et la jeunesse magrébine en France, c’est une histoire passionnelle qui dure depuis plusieurs décennies.
Surtout pas touche à ces merveilleuses pépites que le monde entier n’envie pas.
Ce qui fait que les caucasiens ont eu le mauvais rôle médiatique, "qui sont ces tchétchènes, que font-ils en France ?" voilà le type de débats que l’on a du supporter ces derniers jours, est-ce qu’on aurait posé la même question avec le mot maghrébin ?
Le plus drôle dans cette histoire c’est la réaction outrée des jeunes du quartier à Dijon, habitués à avoir le monopole de la violence et qui ne comprennent pas qu’une communauté soudée leur rende la pareille.