Lionel Stoléru, cet homme à la face tout à fait avenante, que Le Pen Jean-Marie avait rappelé à ses devoirs citoyens de France, l’individu étant de double nationalité française et israélienne avec un fort penchant pour la défense (l’inconditionnelle inféodation, comme le CRIF et la LICRA dans leurs statuts) de la seconde.
Le faisan avait répondu par : "ce n’est pas une nationalité". Sauf que le cuistre défendait sola prefere les intérêts de sa communauté, qui d’ailleurs, n’existent pas pour une nationalité qui n’existe pas plus. Quand la langue est fourchue, faut pas s’attendre à rencontrer Bel-Ami non plus.