Il faut penser dialectiquement les gens : se dire qu’après l’orage vient le beau-temps.
Comme disait mon prof canadien "on essaie pour réussir sinon c’est pas la peine".
Ce n’est pas de l’idéalisme, mais du pragmatisme.
Dans son livre "Le pragmatisme", William James dit que "le pragmatisme est un espoir" - contrairement à l’idéalisme, noble certes, refuge des intellectuels, mais qui s’apparente plutôt au flou artistique et à la compilation d’idées !
Sans reprise du pouvoir, aucune amélioration possible ! Message reçu ?
Constat : dans ce monde aux valeurs inversées ("la mort c’est la vie"), il faut passer d’un projet (inhumain) à l’autre, mais pas à pas, le premier étant de se débarrasser de cette clique sataniste.
"Qui part sans objectif, part perdant." - Soral
Toutes les autres options (pacifisme, manifs bon enfant...) se résument à quémander l’attention de personnes hautement corrompues qui n’ont strictement rien à foutre de nous.
Les médiations médiatiques voulant nous croire l’inverse en venant calmer nos attentes de réponses, par des interventions bidon de Macron et consorts entre deux lignes de coke !
"30 000 morts dont 25 000 auraient pu être évités" (Dr Perronne) : pourtant les gens continuent à écouter ce "gouvernement".
Il faut enclencher la seconde !
S’il n’y a pas de sauf qualitatif le 12, on pourra se dire qu’on a un gros problème. (désolé pour le côté moraliste)