La belle maison coloniale réduite au néolithique avec les gamins qui chient dans la baignoire... l’arrachage des pelouses et des haies... le dynamitage des arbres... le débitage des meubles pour le feu de la cuisine...
Les tas de mains coupées... les corps ouverts pour manger le foie... les fleuves et les plages couverts de cadavres... les fosses communes... les enfants brûlés vifs... les lynchages, les massacres, les exécutions sommaires...
Les destructions de stocks de nourriture... Bûchers de cadavres d’animaux... Les gigantesques boucheries d’animaux sauvages dans les parcs naturels... Les animaux torturés, mutilés, les singes pendus...
...
On a le sentiment que l’état normal de l’humanité est le délire psychotique.
Et que les Africains sont bien les égaux des blancs car eux aussi consomment comme des sauterelles toutes les ressources à portée de main... le type qui brûle en souriant le banc sur lequel il est assis est une image stupéfiante, oui.