Si la deuxième vague n’existait pas, il faudrait l’inventer !
« La seule chose que le port du masque permet d’éviter, ce sont les amendes » ni plus ni moins, car le temps de l’ingénierie sociale est révolue, la supercherie de cette hystérie plandémique saute aux yeux, et cette fronde fait paniquer le pouvoir en place et trembler la pyramide.
Ces tarés triés sur volet par l’oligarchie moribonde procèdent toujours par paliers, un véritable terrorisme d’État qu’il faut éradiquer.
Ce scénario tellement prévisible et grotesque pour la rentrée pousse à l’exaspération des peuples. Nous arrivons au mois de septembre, et subitement, ces sociopathes rendent le port du masque obligatoire partout en France sur un ton autoritaire à l’aide de la pressetituée avec l’emploi à outrance du mot "durcit" et la répression à coup d’amende de 135 euros, après nous avoir bourré le mou et psychosé juillet et août avec des chiffres bidons et des images de cimetière, de combinaison spatiale, de test et j’en passe, en guise d’illustration théâtrale, et n’oublions pas que nous sommes passés par la fameuse attestation de sortie au début de cette mascarade sans l’obligation du port de la muselière.
Les médias ! Les chemins de fer du mensonge, de la désinformation, la manipulation, la propagande, la lâcheté et cerise confite sur le cake, la corruption.
En comparaison, le moustachu excentrique autrichien passe pour un farceur à coté de ce gouvernement despotique, ces ennemis du peuple, ce qui laisse à réfléchir sur la définition de la dictature. Je dirais même plus, il serait choqué de cette guerre insidieuse contre les peuples, car en toute objectivité, je n’ai pas pour mémoire que le moustachu s’en était pris à l’intégrité physique voire la vie de son propre peuple, bien au contraire, ce qui laisse un arrière goût de pisse planétaire après 1945.
À force de jouer avec le feu, on finit par se brûler, ras la kippa de cette république Judéo-Maçonnique nuisible, le peuple se réveille face à ces mesures liberticides, le vent tourne, la tempête se lève, fertig.
Courage, on les aura !