« Riri, Fifi et Loulou... »
Je me suis mis à pouffer au bout de la troisième répétition, jusqu’à être plié, mais l’on ne devrait pas tant tout ceci tourne, dans certains coins, à la tragédie.
Aussi, un petit message aux détracteurs épars de chemises à carreaux, de coupe de douille et de barbichette, aux anaphylactiques à la montre en plastique rouge et aux allergiques à la Dacia, aux réfractaires à la bagouze « vanité » et pourtant orgueilleux, autant qu’à mes potes qui ont redoublé leur CPPN ou n’ont pas chopé de distinction de Première Classe quand ils étaient GV peintres « appelés » au casernement, depuis quand un gonze qui n’a jamais mis son cul en amphi, un Neuneu qui prend une donnée factuelle pour un avis, un théorème pour une opinion, un graphique pour un ressenti, un cas particulier pour une généralité, peut prétendre donner des cours à un professeur émérite, reconnu comme premier de la classe par ses pairs qui sont à même, au regard du nombre et des différentes approches du sujet, au niveau mondial, de le corriger s’il se plante dans les publications de l’IHU qu’il dirige. Depuis quand ?
Depuis quand lorsqu’un prof. s’exprime sur son sujet de prédilection, le novice (quand ce n’est pas l’ignorant), veut débattre d’emblée au lieu de se placer dans une forme d’écoute qui sied à l’étudiant, d’enregistrer, puis d’analyser.
Depuis quand ?
Jamais !
Alors, les uns et les autres, ignares prétentieux, à négliger tous les contextes de ce qui est transmis par le langage, au gré d’une formulation précise, au regard du but à atteindre, écoutez. Mais avant tout, fermez vos putains de gueules en attendant d’être au niveau. L’on ne devrait tolérer de vous entendre que pour l’humble questionnement.
Quand aux autres, initiés et diplômés, mais gangrènés par les conflits d’intérêt, l’on ne devrait même pas vous entendre en public, sauf à annoncer clairement « d’où vous parlez ».