Dès que ces tribunaux publics se feront trop entendre, auront dressé un état des lieux suffisamment accablant
 de la collusion entre États et grands intérêts pharmaceutiques
 de l’activité des États comme caisse d’enregistrement d’un cahier des charges mondial et d’une feuille de route émanant de l’État Profond,
une stratégie de diversion concertée et longuement préméditée se mettra en place : le déclenchement effectif de la guerre sur le front ukrainien sera fonction de l’insistance des peuples à demander des comptes autour de la répression pandémique. Plus les populations des nations technologiquement avancées insisteront pour obtenir un inventaire raisonné des décisions prises en haut lieu ces deux dernières années, plus elles exigeront une comptabilité morale, et plus elles précipiteront l’imminence d’une guerre opportuniste.

Preuve en est que les pays jeunes (Australie, Nouvelle Zélande, Canada), qui n’ont pas l’expérience des coups fourrés diplomatiques du vieux continent, sont ceux qui dévoilent, avec un certain zèle et une certaine candeur, les grandes orientations de l’agenda : Trudeau, avec son épaisse toison efféminée et ses costumes trop ceintrés, n’a t-il pas refusé de dialoguer avec les routiers, les traitant de terroristes et de nazis (ce sont ses termes exacts), avant de se réfugier dans un bunker anti-atomique, d’envoyer des armes de pointe à l’Ukraine et de déclarer la Loi Martiale... Ce matin, heure française, sur Fox News, l’excellent journaliste mondialo-sceptique Tucker Carlson (à relayer ici), annonçait que les Convois de la Liberté, à défaut de reconquérir nos libertés, ont incité la Justine Trudeau à se doter des pleins pouvoirs prévus par l’état d’urgence : il est à tout moment en capacité de bloquer les comptes bancaires des Canadiens et de déployer l’armée contre les citoyens.

Pour résumer, la concaténation événementielle est la suivante : Les demandes populaires de comptabilité morale sur la gestion du Covid génèrent automatiquement une volonté politique de déterritorialisation du conflit peuple-élites vers une guerre est-ouest susceptible de fédérer le peuple et ses élites comme un seul homme, contre un ennemi extérieur, cette fois. La menace d’une guerre contre la Russie sert donc de paravent protecteur et de diversion, à ceux que rendre des comptes incriminerait.