Retour sur l’affaire Léo Grasset : Mediapart et le mythe de l’amour safe
14 juillet 2022 14:22, par FrançoisJe trouve l’auteur de ces vidéos particulièrement assommant. Il ne remet jamais en question aucun "fait" de la modernité, il nous cite du Musset comme si on pouvait parler des femmes du 21ème siècle comme de bonnes sœurs du 19 siècle vues par un poète.
La vérité c’est que :
1/ Il est évident que ces femmes ne sont en rien éprises au point d’en souffrir mais bien plutôt calculatrices, perverses et qu’elles n’hésitent pas à mettre en scène une souffrance sentimentale crée pour l’occasion pour nuire à celui en qui elles voient à présent un ennemi.
2/ le système patriarcal est traditionnellement d’abord là pour protéger un certain sexe et une certaine race d’homme, ceux qui agissent par désir quand ils agissent, et n’agissent pas par scrupules quand ils n’agissent pas, d’un autre sexe et d’une autre race d’hommes, celles qui par absence de scrupules ont libre cours pour agir, mais qui malgré tout n’agissent pas toujours tant leur désir est inexistant devant l’éternel. La tendance naturelle c’est que le pire domine le meilleur, la domination du meilleure pour le pire est surnaturelle, mais justement parce que le surnaturel existe historiquement, au moins en théorie, à travers le patriarcat, Il n’y a aucune fatalité à devoir prendre le risque de souffrir en amour comme le prétend l’auteur.