J’ai deux sentiments sur cette nouvelle. Totalement opposés :

Le premier, celui qui me vient en premier, est un large sourire.
Un trait d’humour, une grosse quenelle jetée à la figure de nos dirigeants hypocrites et va-t-en guerre.

Le second me vient après... en me mettant à la place de l’européen moyen : pour lui, le message perçu est le suivant l’Iran prend la défense des casseurs...
C’est une grave faute diplomatique, non pas vis à vis des chancelleries (ils n’ont rien à en attendre, surtout pas de l’honnêteté) mais vis à vis des peuples et de leurs opinions.