Alain Soral présente son nouveau livre
19 novembre 2024 01:26, par Mon nom est personneJe ne suis ni de droite ni de gauche je suis pour l’honnêteté, le bon sens.
Mélenchon est un traître à la France car il flatte l’immigration au détriment du peuple français, en sachant que seul une infime partie des immigrés pourvoit au travail manquant, le reste est parasitaire, il est donc idiot utile ou collabo du sionisme et du grand patronat. On se tape du fait qu’il se prenne pour Robespierre ; pareil pour Zemmour, bon journaliste qui qd il se prend pour Napoléon sioniste est out ( il s’est trahit qd il a refusé de devenir chrétien alors qu’il fait la morale à tout le monde niveau francité) ; comme ces amoureux de la liberté gauchos, sur le tard, pro palestiniens car ils savent qu’ils ont l’aval du monde et de la masse immigrée ( en réalité si ils étaient si humanistes et patriotes ils feraient tout pour libérer la France de l’invasion migratoire au lieu de la manipuler maladroitement ).
Donc de mon point de vue mettre en exergue des citations ponctuelles de bon sens de ces gens, quand on sait leur duplicité, qu’on sait que c’est de la posture, de l’opportunisme, c’est une erreur, car ça les fait passer pour les non avertis pour des gens bons, honnêtes, avec les plus cons « Mélenchon président « etc.
Sarko en faisait sa spécialité, de saisir l’air du temps, de l’opinion, pour se refaire une cote de popularité facile, alors que c’est un traître, un cynique, qui a joué contre la France.
Donc je ne crois pas que citer les gens malhonnêtes soit opportun, il faut valoriser ceux qui ont une ligne franche quelque soit le contexte.
Le côté punk c’est sympa mais c’est un peu dire « je me fous du réel », je regarde de loin les événements, tant que le commentaire fait recette on est bons.
Comme la mode, futile, redondante, de posture, d’habitude la spécialité des bonnes femmes.
Ce qui résume une personnalité politique, ce sont ces actes, point.
L’intellectuel lui a le luxe de rester en retrait, refaire le monde, théoriser, faire des bons mots, on le lui en voudra pas.
Mais si politiques et théoriciens se mettent à se faire des papouilles, ca sent le foutage de gueule et le jeu de dupe perpétuel.
Donc je maintien qu’il faut simplifier, en temps révolutionnaire : traître ou patriote, collabo ou résistant, corrompu ou honnête. Point.