Deff : "A partir de ce moment là, quand on est incapable de résister et d’être fort, on devient un faible et on doit accepter d’être dominé".
Moi, je trouve que la Lybie résiste, qu’elle est forte et n’accepte pas d’être dominée.
Moi, je trouve que le comble de la lâcheté et de la faiblesse, c’est de bombarder et d’assassiner une population innocente puis venir mentir publiquement sur l’objectif de sa propre violence meurtrière pour s’en dédouaner. Il s’agit davantage de la manifestation d’une dégérescence mentale qui ne peut prêter à aucun débat d’histoire des civilisations, ni plus bassement sur le rapport du dominant et du dominé.
Car il y a aussi chacun d’entre nous, impuissant, dépité, révolté, mais en aucun indifférent, ni solidaire à ces monstruosités de ces soushommes pervertis au fric contre l’humanité.
Il nous reste qu’à prier pour les victimes, donc à croire, puis donc à agir.
Deff, il n’y a que qui pleurent ou qui rient qui verse des larmes. Moi, j’ai simplement eu un pincement au coeur sur l’image du secouriste qui baise le pied arraché car lui, c’est l’être humain qui m’inspire dorénavant. Toi, fermes la à tout jamais !