Rien de drôle dans cela : Annie Lacroix-Riz, Le choix de la défaite, 2010, explique, après analyse des archives devenues accessibles, que les Français n’ont pas été simplement vaincus en 5 jours par une Wehrmacht invincible ; le haut patronat les a sacrifiés à son plan de "réforme de l’État" copié sur les voisins fascistes et à son obsession d’accord avec le Reich. Et je ne parle pas des élites : militaires, politiciens, journalistes et hommes d’affaires.
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