En ce qui concerne Napoléon III, qui avait hérité des vassalités bancaires de Bonaparte, il s’était laissé convaincre d’accorder la nationalité française à l’ensemble des indigènes de l’Algérie, ce qui permettait à certaines forces occultes de miser sur le grand nombre des indigènes musulmans pour permettre à un petit groupe d’indigènes communautaires et organisés, de prendre l’ascendant sur les deux autres groupes (indigènes musulmans et colons hexagonaux) afin de créer une sorte de terre promise pour un roi de la banque en quête de royaume.
Mais les autorités ecclésiastiques, qui avaient flairé l’arnaque finale sous le faux nez de la naïveté humaniste impériale malignement orientée, s’y étaient opposées farouchement en expliquant au triple Napo qu’on l’avait pris pour un Trissotin.
La guerre c’est le nerf de l’argent, et le financement de l’éviction de Napo III fut organisé à Sedan, un autre Adolf, le Crémieux, profita du désordre et de l’absence de gouvernement pour organiser, par décret communautaire, l’Anschluss de la colonie algérienne pour le compte de la Banque.
Cette stratégie de prise de pouvoir communautaire fut appliquée à la Métropole après le rapatriement des communautés d’Algérie en 1962, et l’empereur Mitterrand se laissa convaincre d’accorder la nationalité antiraciste aux troupes immigrées importées, devenues armée prolétaire de réserve sous le commandement des sionistes de gauche appuyés par la banque après le tournant de la rigueur socialiste en quête de financements.