Nantes : au-delà des récupérations politiques, que sait-on vraiment ?
26 avril 10:41, par Stroguine
La peine de mort ne serait peut-être pas dissuasive pour un individu comme ce Justin, dont on peut penser qu’il est lui-même une victime de notre société nihiliste, du désespoir distillé par nos "élites" corrompues et malfaisantes et même de la stupidité des masses prêtes à se confiner, à se couvrir la gueule d’un masque inutile, à s’autosigner des "passeports sanitaires" et à se "vacciner" avec de la merde, plutôt que de mettre en question la bienveillance de l’autorité politique. On pourrait aussi accuser les jeux vidéo, où l’on tue "pour rire", et la confusion entre non-être et réalité. L’homme est une créature complexe, la plus complexe des créatures nous enseigne la théologie catholique.
Pourtant, la peine de mort, outre qu’elle peut être dissuasive pour un animal raisonnable, a deux autres avantages : elle apaise la légitime colère des victimes collatérales, et je pense aux parents de cette malheureuse enfant qui méritait de continuer de vivre... Deuxièmement, elle donnerait un sens à l’existence imbécile du crétin qui l’a poignardée : il pourrait se préparer à mourir, voire à faire son salut, comme ce Pranzini assisté des prières de sainte Thérèse de Lisieux.
Ce dingue n’aura pas cette chance. Il sortira dans dix ou quinze ans de l’asile psychiatrique où on lui aura appris que la première victime de son crime, c’était lui !