Intéressant
J’adore le chant des canuts, les tisserands de Silésie, la chanson du linceul
Asturies, une révolution sans chef, des mineurs qui s’appuient sur une solide solidarité de classe, qui défendent les intérêts collectifs.
Maurice Bardeche et Robert Brasillach salue la bravoure et l’héroïsme des rouges
C’est avec un extraordinaire courage que les anarcho-syndicalistes catalans ont rassemblé les ouvriers et se sont jetés dans la rue.
On a pu les voir à peine armés, s’avancer en rangs, en se tenant les bras comme dans les garnds cortèges révolutionnaires, sous le feu des fusils et des mitrailleuses.
Un rang tombe mais n’entrave pas l’élan de celui qui suit.
Femmes mêlées aux hommes, adolescents presque enfants, ils réussissent à maîtriser l’insurrection, à s’emparer des pièces et des armes.
Dans les rangs, illumine, illumine la passion, il y a des blessés, peut-être des morts, que les vivants entraînent cette attaque par masses sacrifiées, qui fit des des centaines de victimes mais qui maintient Barcelone aux mains des rouges et une des plus belles pages héroïques de l’histoire révolutionnaire universelle.
J’adore Simone Weil qui a rejoint le monde ouvriers et sait de quoi elle parle
L’héroïsme est partout, dans le monde ouvrier qui trime, dans le monde paysan qui trime, dans le monde de la rue qui survit