Si vous avez du temps à perdre jetez un œil sur le jeu The Last of Us Part II remastered, apparemment repris d’une série ben c’est pareil long et régressif : un merveilleux exemple d’infiltration cognitive, très long pour que la fausse conscience s’incruste dans les cerveaux malléables des jeunes golmons : le wokisme (les deux héroïnes lesbiennes qui jouent à touche-pipi au milieu d’un décors apocalyptique crado peuplé de gangs de fachos Redneck et de fachos mutants à spores car infectés bref du grand n’importe quoi), le jeunisme, la synagogue au milieu de la forêt, le supermarché, la Menorah, la salle de cinéma, la vengeance,...
Tout y est, un gloubi glouba noachique infecte : des pluies diluviennes, les fleuves, la mer d’eau douce avec des vagues annoncent le déluge, carrément nul à chier, sans référence culturelle hormis le noachique, Gaya néo-libérale (tous contre tous, la performance dans la tuerie de masse, plus d’humanité, des moments de pathos qui court-circuite bref ça saute du coq à l’âne) : un virus parasite, qui, dans son ultime stade de développement, monte jusqu’au cerveau pour provoquer la pire des mutations de l’hôte humain contaminé par morsure (le scenario de The Thing de Carpenter). L’héroïne, une paumée, jeune lesbienne, et en même temps bi, présente un problème de postionnement affectif sévère, sans repère paternel, un père de substitution rejeté par elle pourtant aimant. Donc une gaucho immunisée contre ce virus et qui va donc sauver ce qui reste de ce chaos qui a tout de même conserver une nature vierge qui se répand, envahit la partie terrestre : ainsi, là dedans, tous les survivantes pourront s’enculer et se brouter le minou de manière "safe" avec G. Soros qui mate et qui profite c’est chouette non ?
Et nous voyons le résultat de cette régression sur le YouTubeur gamer en démo, totalement infecté, tout dans l’émotionnel et la haine, parlant sans cesse de vengeance, parfois triste alors que c’est impossible de ne pas rire tellement c’est bête et pauvre. Bien sûr en grande difficulté dans la lecture mécanique de lettres indigentes collectées dans les scenarii, c’est d’un chiant, vide qui rend complètement dingo, stérile, sans vie, les phrases ne veulent rien dire, désincarnées.