L’ogre de la forge d’Avalon attaqué par les gauchistes
19 août 01:19, par Calumet du NuageViande et privilège de la chasse chez la classe dominante ... Fables républicaines des poursuites des gendarmes et des garde-chasse : chasser sans permis ne constitue pas une simple infraction, mais un véritable délit, sanctionné sévèrement par la loi française, même si aucun tir n’est effectué. Braconner n’est pas de tout repos : pour la protéine, il faut rester dans les clous... Les réflexions de Dominique Venner, de mémoire heureuse, sur les chasses présidentielles... Et puis, il y a la physiologie, la dentition et l’estomac humains ne sont pas vraiment ceux de carnivores. Faut voir à surveiller l’acide urique.
L’expérience est peut-être plus simple. Il s’agirait alors de lisser tous les particularismes pour fondre en un ensemble informe une masse de population corvéable et imposable à merci, et pour y atteindre au mieux, et bien, quoi de plus tendre et délicieux que de l’extirper de sa nature ? enfin de ce qu’il en reste après soixante années de prêt à penser télévisé, afin que le Grand Boulanger en une seule fournée pétrisse une masse bien homogène, à laquelle on fournira les mêmes ingrédients, où dont on gérera la diversité par une même surveillance assistée.
Faut pas avoir pété un joint en lisant le docteur Schweitzer pour comprendre que la fertilité des sols était renouvellée par le fumier issu des bovidés. A contrario, si par un hazard quelconque, se manifestait un désir d’affamer les peuples, on voit bien qu’on commencerait alors par attaquer à la racine la fertilité de leurs sols, et donc, obtenir la suppression du fumier par celle du cheptel. Ca révolutionnera pas le régime alimentaire du Sénat, et les boeufs nourris à la bière pour la table impériale japonaise dont la viande doit bien avoir maintenant dépassé le prix de 500 Euros le kilo, continueront à être élevés.
Ces gens là n’ont pas d’imagination, pas de créativité. Non, chez eux, il y a le milliard doré. Faut pas leur demander, aux pontes du Club de Rome de rendre possible l’impossible, asservis au culte assoiffé.
On y est tellement profondément dans cette merde, qu’on se demande comment on va bien pouvoir s’en décrotter. Dans un monde pris, la solution de l’émigration n’est plus ce qu’elle était. Dans leur monde clos, bas de cosmique plafond, la question se résume à leur pouvoir coercitif. Au-delà de leurs limites, on voit les énergies qui encore inlassablement nous irriguent.
Les romains du Club n’en disposent pas, pour trahison : eau non potable. Buvons plus haut.