...le proxo d’aujourd’hui n’a pas forcément cinquante ans...

...ce sont de plus en plus des jeunes, souvent issus de l’immigration, déjà trafiquants de drogue, qui se reconvertissent dans le proxénétisme.

C’est tout bénéfice pour eux, les risques sont moindres, les coûts de fonctionnement réduits et les profits rapides.

Ces jeunes utilisent des méthodes similaires à celles du trafic de stupéfiants pour organiser et gérer des réseaux de prostitution, principalement via les réseaux sociaux comme Telegram ou Snapchat.

Ils recrutent des jeunes filles vulnérables, désocialisées ou en situation de détresse qu’ils n’hésitent pas à aller chercher dans les foyers pour mineurs.