À vendre, France, prix cassé
28 septembre 02:09, par Sedetiam
Le sujet que je vais exposer ci-après, ne tend pas à se concentrer sur ce qui est bien de mal de faire, sur quelque chauvinisme que ce soit, mais de prendre en considération les principes du business et de la vie d’une marque.
De nos jours SANOFI côté en bourse change de « métier ».
Doliprane qui était une de ses branches vivotait sur ses lauriers, en cela, plus personne ne se bougeait le cul et nul ne peut dire que c’était l’émulation.
Aujourd’hui, l’entité Doliprane rejoint un fond de capital investissement privé (private equity) et croyons bien que tout va être mis en œuvre pour faire prospérer cette boîte qui roupillait. Gageons que Sanofi utulise ces 10 milliards au mieux de ses nouveaux projets, ce qui ferait un deal gagnant-gagnant, si l’on néglige les délocalisations et autres réflexes chauvins.
En cela, pour ceux qui aiment à se faire actionnaires, Sanofi redevient une belle opportunité boursière et Doliprane (en l’occurrence et désormais propriété du fond Clayton, Dubilier & Rice, 30 milliards de dollars) un réelle opportunité “private equity”, puisque vont être propulsé les meilleurs et non quelques pantouflards français. N’allons pas rêver, le ticket d’entree pour investir chez CD&R c’est entre deux cents barres et un milliard de dollars.
N’allons pas me faire dire que je cautionne quoique ce soit des faits.