Chine : des fossiles révèlent l’existence d’une espèce humaine inconnue
16 mars 2012 12:43, par derf( Suite et fin..)
Emile Borel a voulu donner une illustration frappante de ces antiprobabilités avec son singe des singes-dactylographes : quelle est la probabilité pour une quarantaine de singes tapant au hasard sur des machines à écrire reproduise le premier chant de l’Illiade ?
Toute ces théories, tout ces systèmes, toutes ces conclusions venant avant l’observation des fait,
ont pour seul but de calmer l’angoisse blanc isolé si longtemps du reste de l’humanité et lui donner bonne conscience de ses crimes et ses oppressions.
Nos manuels scolaires, nos musées, persistant a faire du singe l’ancêtre de l’humanité, inculquent les principes de base du racisme en considérant les hommes des civilisations traditionnelles comme des fossiles témoins, des jalons de la voie royale qui mème au trône de l’homme blanc, seul "adulte et civilisé", aboutissement de toute évolution.
L’humanité entière vue dans cette perspective évolutionniste paraît composée de nigauds crédule ; en revanche, les quelques esprits partisans qui refusent d’entendre la longue prière de l’homme au travers de toute les civilisations, d’un bout a l’autre de l’espace et du temps, deviennent du même coup, par la volonté des savants occidentaux, seuls lucides dans un monde voué a l’erreur.
Ce sont beaucoup d’article de foi pour une théorie scientifique qui prétend s’appuyer sur la seule logique des fait observés, beaucoup d’absurdités aussi démentie par les fait eux-même et les plus évidents.
Il vaudrait mieux admettre que l’évolutionnisme matérialiste est une religion demandant beaucoup à la foi et peu à la raison.
Darwin a parlé des "lunettes obscures du théologien" et le mot a fait fortune. Mais quelles lunettes de ténèbres chaussent le nez des évolutionniste !
Les gestes d’un homme nu dans la forêt équatoriale, accomplissant les rites immuables de sa tribu près de son frère mort, posent, face à l’occident, la première question, le premier de tout les problèmes, car ces gestes sont répétés en terme identiques, mettant en mouvement analogues d’un bout a l’autre de l’humanité, supposant la même foi en une même réalité.
Jean Servier : "l’homme et l’invisible"
Dont je vous recommande la lecture.
Salutations.