Affaire Merah : malaise dans la police !
30 mars 2012 01:21, par Le Lion du désertLa version officielle du dénouement final du drame de Toulouse est un mensonge, comme tant d’autres récits officiels concernant les " attaques terroristes islamiques ", remplie d’incohérences. Mohamed Merah, français de 23 ans d’origine algérienne, amateur de voitures, carrossier dans un garage automobile, avait voulu s’engager dans l’armée française pour "défendre le drapeau français " mais avait été rejeté, faisait la fête en boîte de nuit quelques semaines avant sa prétendue folie meurtrière, avait des antécédents de délits mineurs, et devait voir le juge en avril pour une histoire de conduite sans permis. Il se serait aussi rendu en Israël, en Afghanistan et au Pakistan pour des raisons inconnues à ce jour peut-être pour y subir un " endoctrinement idéologique ". L’appartement de Merah ait 38m2, soit environ 6m sur 6. Selon n’importe quel critère, c’est un lieu vraiment petit pour y mener un assaut, et avec Merah et 15 officiers du RAID suréquipés sur place, ils devaient se sentir légèrement à l’étroit là-dedans.
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Le voisin qui a filmé cette vidéo affirme savoir précisément à quel moment elle a été filmée parce que la police avait lancé plusieurs « flashballs » à ce moment-là. Il était environ 8h du matin, trois heures avant le supposé assaut final. Si des officiers du RAID ont pu pénétrer dans le minuscule appartement de Merah à 8h du matin et en ressortir 25 secondes plus tard avec un air du genre " rien à voir ici ", pourquoi n’auraient-ils pu lancer quelques bombes lacrymogènes ou autre agent incapacitant . Il est clair que Merah ne devait pas sortir de cet appartement vivant. il aurait été en mesure de dire la vérité ,- à savoir qu’il n’a pas abattu ces trois soldats ni l’enseignant et les enfants de l’école juive. Vivant, il aurait pu raconter qu’il avait été contacté en prison par les services de renseignement français, qui lui avaient proposé un " marché ", dans lequel il devait, en tant que musulman, se rendre en Afghanistan " sous couverture " pour rapporter des informations aux renseignements concernant les activités de certains groupes. Un processus consistant à lui fournir une seconde identité/une double vie qui pourrait être utilisée contre lui par la suite. Il aurait pu raconter qu’on lui avait arrangé un voyage en Israël et qu’il était entré en contact avec les renseignements israéliens.