2009 : Quand Bachar Al-Assad n’était pas encore "un tyran sanguinaire"...
10 août 2012 00:36, par fifty miles
Bémol.
Bachar al Assad manque singulièrement de charisme et maniait la langue de bois comme un politicien occidental. Son optimisme sur l’issu des négociations était des plus singulier au vu des événements actuels. Le plus horripilant étant le journaliche qui l’interview, un laquais qui se situe, par son ton, au dessus d’un chef d’état.
Mais longue vie à ce résistant à l’empire et surtout au peuple syrien.