Entretien avec Bernard Ronot, agriculteur à la retraite
18 août 2012 19:49, par QuoVadisUne petite perle dans un océan de merdasse. Au même titre que Lydia et Claude Bourguignon ainsi que Pierre Rabhi, cette personne nous apporte un bol d’air pur, une sagesse et un bon sens qui détonnent des discours pour lobotomisés prodigués par les merdias. Bien sûr qu’il faudrait revenir à une vie en osmose avec la nature, mais le programme du système mondialiste est tout-à-fait à l’opposé, une économie morbide, dans l’objectif de la destruction des 2/3 de l’humanité et de la biosphère ou au moins rendre les personnes fragiles et maladives (chemtrails, métaux lourds dans l’eau, aliments dénaturés ou OGM) pour mieux les contrôler. Ils veulent la mainmise totale sur la nourriture et pour cela prendre le pas sur la nature en reproduisant des clônes génétiques à partir des semences originelles et les profits pharamineux qui vont avec. Pourquoi, ont-ils constitué un stock immense de graines (toutes les plantes du monde) dans un bunker sous-terrain à Svalbard, une île au large de la Norvège (les fieffés Bill Gates et David Rockefeller) si ce n’est qu’ils s’attendent à un cataclysme universel (guerre nucléaire ou autre) pour pouvoir ainsi, après, breveter le vivant. Petit à petit se met en place une législation à partir de laquelle seule la production des poisons agrochimiques sera tolérée (Codex alimentarius). Sait-on par exemple que le "purin d’orties" est prohibé (loi européenne). L’interdiction du potager individuel n’est pas loin. J’ai un petit jardin sur lequel je récolte des tomates, des aubergines, des haricots verts, des choux, des carottes, des patates, des poivrons... Je sais j’ai de la chance, mais même si ça demande un peu de travail, putain qu’une tomate de jardin c’est bon par rapport à la merde industrielle de supermarché. J’ai peur que les jeunes générations, à la culture MacDo, ne soient pas conscient du trésor qu’ils vont perdre et conditionnés comme ils sont (avoir tout, tout de suite sans travail) ne pas faire de remise en question de cette pourriture systémique. Mais bon, j’espère me tromper et faire confiance en la régénération de la société.