"Je suis une victime donc tu me dois du pognon" sera bientôt le refrain du rap des banlieues si ça continue.
Pas de bol la rengaine est déjà prise par le CRIF.
Sans courage, sans honneur ni fierté, recroquevillé dans son passé d’esclave a demi inventé au lieu d’être tourné vers le futur des rois, le discours victimaire me dégoûte.
Donnez nous des héros ! Bien vivant ! Des Chavez, des Poutines ! De l’action, bordel ! Les larmes, les regrets. les lamentations, les accusations ad vitam eternam ne construisent pas le futur ! Cessez de ressasser ! Il est temps de bâtir !!