La théorie du genre en application dans les crèches !
18 septembre 2012 13:35, par JonathanFaire jouer des petits garçons à la poupée et expliquer aux fillettes qu’elles peuvent aussi jouer à la guerre au nom de l’égalité des sexes......mouais, bah ça promet, déjà que le nombre de naissance de garçons se rarifie du fait d’un plus en plus haut taux de Xenœstrogens dans l’eau et la nourriture (via nos produits chimiques), sans parler du rôles que ces hormones jouent dans l’augmentation des cas de stérilité chez les hommes, la perte de leur pilosité, de leur masse musculaire et l’accélération du développement physique des fillettes qui se voient pousser des seins à 6 ans, on est dans de beau drap, à ce rythme, tout ce qui fait d’un homme, un homme, disparaîtra d’ici quelques décennies pour laisser place à des hommes stériles d’un poids moyen de 50Kg qui n’auront pour seul objectif dans la vie que de rester à la maison et donner le biberon à des enfants qu’ils n’auront même pas pu concevoir naturellement pendant que leurs femmes iront couper du bois pour le chauffage après une dure journée de labeur au chantier...
Tout ça accéléré par le prônage via nos médias et politiques, d’une société d’individus égaux en tout point, au physique indifférencié et aux rôles non définis.
De toute façon ça se constate déjà aujourd’hui, de plus en plus d’hommes se sentent femmes et il n’y a même pas réellement besoin de leur apprendre, enfants, à jouer à la dinette vu que les merdes chimiques dans notre bouffe s’en chargent, il suffit juste de leur faire assumer leur féminité.
Quant aux femmes, la chimie n’aidant pas à faire d’elles des hommes, on l’oppose à l’homme en lui expliquant qu’on est tous des méchants machos et qu’il faut impérativement qu’elles se libèrent de notre emprise...la haine s’installe, ça donne des taré(e)s à la Fourest et voilà.
Bref, tout ça pour dire que le but n’est non pas de doter les femmes de couilles (je métaphorise) mais d’en retirer celles des hommes et ce, dès le plus jeune âge, pour que la véritable égalité des sexes telle qu’elle est prônée, devienne au final, une réalité non seulement d’un point de vue morale mais également anthropologique donc physique et psychique.
Que restera-t-il à l’homme pour justifier sa différence s’il en vient même à perdre ses couilles ?