Philippe Ploncard d’Assac à propos de la "théorie du genre"
24 septembre 2012 23:51, par matrix le gauloisOn ne devrait pas balayer du revers de la mains les concepts avancés par l’élite sur la théorie du genre car, là, j’ai l’impression qu’on a franchit un cap.
Jusqu’à maintenant le progressisme (dont l’ultime phase sera d’ôter à l’être humain son humanité pour en faire un troupeau d’esclaves obéissant à l’oligarchie satanique) se parait de la raison scientifique pour démolir le spirituel et les garants de l’ordre ancien (notamment monarchique).
On a discrédité la religion avec toutes les découvertes scientifiques, on a fait passé l’être humain d’être sacré crée et aimé de Dieu à un amalgame de protéines & d’acides aminées. Plus besoin de sacré, plus besoin d’âmes, la logique scientifique explique que tout ce que vous faites a des raisons scientifiques qui balaient le principe de bien & de mal (et donc la notion de libre-arbitre).
Mais là, qu’est-ce que nous avons ? Le progressisme assène un formidable coup de couteau dans le dos à son allié scientifique. Avant on opposait le savoir sacré (Dieu a crée le monde en une semaine) au savoir scientifique (la terre a mis plusieurs milliards d’années à se former).
Maintenant on oppose une allégation progressiste libertaire (le sexe c’est dans la tête, chacun est libre de choisir le sien) à la rigueur scientifique froide mais neutre (l’homme c’est l’être qui naît avec des testicules, la femme c’est la forme de vie qui naît avec un utérus, UN POINT C’EST TOUT !)
Pensez ce que vous voulez, mais là, on a la preuve concrète que le libertaire est une religion et qu’en tant que telle...elle finit par se heurter à la réalité incarnée par la science. Si la science a fait du mal à la spiritualité, pourquoi ne finirait-elle pas par venir à bout du libertarisme forcené ?