La "Troïka" a demandé le licenciement de tous les percepteurs des impôts grecs
25 octobre 2012 18:55, par anonymeouais ! le premier qui aurait du non seulement être licencié mais envoyé finir ses jours dans un cul de basse-fosse, vu tout le mal dont il a été l’auteur (dont des morts), c’est Papandréou, or :
On a appris ce soir (23 octobre 2012) que M. Georges Papandréou, va désormais donner des cours dans la prestigieuse université de Harvard.
Le salaire de ce professeur d’un type particulier sera de 46 000 € par mois.
Pendant que M. Papandréou va cumuler son salaire de député "socialiste" avec ses revenus de professeur de l’université de Harvard à 46 000 € par mois :
les services publics sont en passe d’être quasiment entièrement privatisés en des mains étrangères,
tous les acquis sociaux obtenus par les travailleurs grecs au cours du XXe siècle sont démantelés les uns après les autres,
le patrimoine public du pays est vendu à l’encan et le gouvernement grec envisage même d’organiser la déportation de populations établies dans des îles de la mer Égée, afin de vendre celles-ci à des fonds d’investissement et à des établissements financiers anglo-saxons,
le taux de chômage de la population grecque a atteint les 25 %,
un nombre considérable de retraités ont vu leur maigre pension amputée du tiers ou de la moitié.
la clochardisation de l’ensemble de la société grecque se poursuit à vive allure
la consommation d’antidépresseurs connait une hausse vertigineuse à travers tout le pays,
le taux de suicides a augmenté de +18% en 2010 et encore de 25% en 2011. La Grèce est ainsi le pays au monde qui connaît la plus forte augmentation du nombre de suicides. La Grèce était un pays heureux avant l’euro car il avait jusqu’à récemment le taux de suicide le plus bas de tous les pays européens.
http://www.u-p-r.fr/actualite/france-europe/euro-la-grece-s-enfonce-dans-l-tragedie-et-la-misere
Pour l’ensemble de cette œuvre remarquable, et pour le cynisme dont fait preuve cet homme, qui se sert de la détresse humaine et de la misère épouvantable dans laquelle il a plongé son peuple pour engranger une fortune à titre personnel, l’UPR a décidé d’attribuer son Prix Nobel de l’Infamie 2012 à M. Georges Papandréou, politicien de nationalité grecque, « Européen convaincu » né le 16 juin 1952 à Saint Paul, États-Unis d’Amérique, et actuellement président en exercice de l’Internationale "socialiste".