L’extrémiste François Genoud, de Hitler à Carlos
2 novembre 2012 23:59, par DruidePour faire contrepoids aux commentaires des ignares qui s’en prennent à Genoud, incluant un qui semble croire à mort à la Shoah, (on se demande ce qu’il fait ici celui-là), je citerais la dédicace de Michael Collins Piper (penseur, aux côté de Willis Carto, du concept de "national international") à son ouvrage The New Babylon :
Peu de gens connaissent le nom "François Genoud", pourtant, pendant plus de soixante ans ce banquier suisse, éditeur et penseur géopolitique - décrit comme "l’homme le plus mystérieux de l’Europe" - fut l’éminent stratège - bien qu’il soit resté à l’arrière-scène - travaillant pour la coopération mondiale entre les nationalistes à travers la planète, résolus à déloger les efforts incessants de l’empire Rothschild en vue d’établir un Nouvel Ordre Mondial impérial, le vieux rêve alimenté par les enseignements infernaux du Talmud de Babylone.
Dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale et après, Genoud a joué un rôle instrumental dans l’évasion de réfugiés anti-communistes européens dont le seul crime était de s’être portés à la défense de leur pays contre les forces communistes et judaïques ivres de vengeance qui étaient alors en train d’envahir le continent.
Il y a peut-être des milliers de personnes vivant sur la planète aujourd’hui qui doivent leur existence au fait que Genoud a sauvé leur ancêtre d’actes de torture certains et d’exécutions, infligés par la justice du vainqueur.
Dès 1936, le jeune Genoud a forgé ce qui est devenu une amitié durable et des relations de travail avec le Grand Mufti de Jérusalem, le chef spirituel des musulmans de Palestine, lesquels - avec leurs frères chrétiens - ont finalement subi la grande catastrophe de 1948 connue sous le nom de "Nakba", le vol de leur terre natale, chassés à la pointe d’un fil de leurs terres ancestrales et voués à l’exil, plusieurs d’entre eux dans des bidonvilles dépotoirs à ciel ouvert - les soi-disant "camps de réfugiés" - dans lequel nombre de leurs descendants continuent de languir.(À suivre)