Plutôt que de donner des exonérations fiscales et laisser ensuite Gemplus emprunter sur les marchés, il aurait fallu entrer directement dans son capital, pour protéger les brevets et les emplois. Et pour éviter de devoir finalement racheter les parts très cher à la fin d’une entreprise pillée et ruinée par l’alliance des militaires américains et des financiers camerounais. Aucune leçon n’a été tirée, c’est à peine si nos politiciens ont compris ce qui se passait et les seuls a avoir fait mine de bouger le fion à l’époque étaient des députés communistes.