« Un jour viendra où elle se détachera du monde, mot qui n’est que l’anagramme du démon. Elle se souviendra de ses origines et elle reniera le dogme du ralliement. Elle n’a d’ailleurs pas d’autre choix : elle a le couteau sous la gorge, car Satan, à la différence de Dieu, ne fait pas de crédit. »
C’est bien là tout le reproche que je fais, avec d’autres plus illustres, au christianisme et peut-être plus encore au catholicisme : cet opprobre, cette malédiction permanente jetée sur le seul monde réel que nous connaissions. Cette con-damnation de la vie.