Pendant que les résistants au nouvel ordre mondial s’étripent entre catholiques et orthodoxes, chrétiens et musulmans, pro ou anti Vatican II, Satan ricane et avance ses pions. "J’avais mille fois raison de ne pas me prosterner devant un tel animal," doit-il penser.
Que chacun fasse du mieux où il se trouve, avec sa tradition. Que les arbres portent de bons fruits. Je bénis le Catholique qui ne voit rien à redire à Vatican II, s’il fait le bien. Je bénis le Juif israélien, s’il craint vraiment Dieu. Je bénis le musulman, même s’il ne connaît pas les différentes lectures du Corain, pourvu qu’il porte haut les nobles qualités mohamediennes.
Tout le reste n’est que politique et tracasserie identitaire.