Jacques Sapir décrypte la quête de flexibilité
5 février 2013 11:06, par david
Ça commence à faire lourd :
* exonération de charges
* chômage compétitif contenant les travailleurs
* cout sociaux et cout sociétaux de l’immigration non évoqué
tout ça gonflant les dettes, car c’est l’État le public qui prend en charge
* maintien de la monnaie pour préserver le capital
* spéculation aventureuses
* technocratie plus vaste
* flexibilité qui permet d’abaisser les points morts.
Ce qui évoque que la productivité pure n’est plus au rendez-vous et qu’il faille taper sur le travailleurs pour dégager des libertés.
Ça craint, même la machine de production est au bout du rouleau.
Soit ça pète dans pas longtemps, soit c’est un esclavage encore plus fort.
Soit il y a une innovation technologique terrible qui relance un cycle.