Génocide du Rwanda : un matraquage médiatique ne fait pas une vérité historique
10 avril 2013 13:48, par goy pridejeanmi,
Exterminer 10% de la population totale d’un pays en 100 jours c’est à la fois rapide et long ! Rapide parce qu’en l’espace de 3 mois il fut possible d’obtenir un pourcentage d’éradication d’une population qui approxime voire dépasse ce que des conflits majeurs purent accomplir après plusieurs années de bombardements, de gazages, d’embargo, de famines...Même avec tout ce qu’a subi l’Irak on a à peine atteint 10% d’éradication de la population totale et ceci après plusieurs années de supplice. Or pour le cas Rwandais on voudrait nous faire croire que sans aucune planification préalable des dégénérés purent exterminer en 3 mois 10% de la population du pays avec juste des machettes, des houes et gourdins. La seule explication que l’on nous propose à ce "miracle" est psychologisante, c’est à dire une haine ancestrale couplée à une sorte de crise d’hystérie collective contagieuse qui a touché du jour au lendemain à travers l’ensemble du pays les gens et qui a duré durant 3 mois ! C’est long ! C’est très très long pour un coup de sang 3 mois ! La plupart des être humains connaitrait un effondrement psychologique après quelques jours de carnage. Seul des gens ayant un profil psychologique particulier, recrutés et entraînés peuvent pendant plusieurs mois d’affilés psychologiquement supporter de quotidiennement après leur petit déj’ aller débiter des femmes et enfants au coupe-coupe...quand on demande comment ils ont fait les mecs pour parvenir à exterminer autant de monde on reçoit le même type de réponse que qu’en on a l’outrecuidance de demander quelques précisions techniques sur le prétendu déroulement d’un certain point de détail de la seconde guerre mondiale : haine, racisme...et même télépathie* ! Ah la haine ! Cette émotion magique qui permet de défier les lois de la physique, de surmonter les limitations matérielles ! La haine qui rend l’impossible possible !
Donc au Rwanda soit il y a juste eu massacres, soit il y a eu un génocide et dans ce cas seul une planification minutieuse peut expliquer le niveau d’efficacité atteint.
* : La télépathie fut un argument utilisé lors d’un procès de Faurisson au Canada pour expliquer comment il fut possible d’entreprendre le génocide fruitier sans qu’aucun ordre verbal spécifique ne fut donné. Aucune trace historique, aucun document administratif écrit n’a pu être trouvé sur la mise en oeuvre de l’Ananas. Un expert de l’Ananas a donc le plus sérieusement avancé lors du procès la télépathie comme argument.