Taxer les contribuables sur les eaux de pluie, c’est désormais possible
21 avril 2013 19:24, par MG 42ce prélèvement est calculé en fonction du nombre de mètres carrés de surfaces « imperméables », c’est-à-dire ne permettant pas de laisser passer l’eau de pluie dans le sol, tels que les toitures, les grandes terrasses et les terrains de tennis. Le décret prévoit que la taxe ne peut pas dépasser 1 € par mètre carré et par an.
au risque de choquer, pour une fois je suis pour. mais a condition que ca touche aussi les professionnels : "hangars a dirigeables" genre castorama fly ect qui fleurissent aux abords de villes, parkings géants de supermarchés ect...
c’est un moyen de limiter un peu l’étalement urbain.
il faut étudier un peu le problème, touts les 10 ans c’est la surface entière d’un département qui disparait sous le bitume et le béton.
biologiquement parlant un lotissement ou un parking c’est un désert minéral, qui en plus empêche l’eau de rejoindre la nappe phréatique : tout part a l’égout pluvial et direct dans le fleuve. par chez moi quand il pleut un peu fort le fleuve est marron caramel et on retrouve de la terre sur le sable de la plage tellement les sols sont lessivés. il faut pas etre dégouté pour se baigner en mer.
http://www.terredeliens.org/campagn...
http://www.biocoop.fr/var/biocoop/s...
Un constat inquiétant
Convoitées, surexploitées et exposées à la spéculation immobilière, les terres agricoles, socle de notre alimentation et de nos paysages, se font de plus en plus rares dans l’Hexagone. Le résultat ?
Des surfaces considérables de terres fertiles qui disparaissent sous la pression de l’urbanisation.
Des sols épuisés par des pratiques agricoles intensives qui contaminent aussi les ressources en eau.
Une terre qui se transforme en marchandise spéculative et devient inaccessible aux jeunes agriculteurs.
Des campagnes qui se vident et des agriculteurs qui ne parviennent plus à transmettre ni leurs fermes ni leur savoir.Le saviez-vous ?
200 fermes disparaissent chaque semaine en France, notamment au profit d’exploitations de plus en plus grandes.
1300 hectares d’espaces agricoles et naturels sont couverts de béton et de bitume chaque semaine : l’équivalent de la superficie de Paris disparaît tous les 2 mois !
Les prix de la terre ont bondi de presque 40% en dix ans, obligeant les agriculteurs à s’endetter à vie pour acheter leurs parcelles