Dégueulasse, à propos de Villard, qui dénonçait dernièrement à la radio les réseaux d’élites pédophiles dont il fut victime enfant, le vieux précise qu’il ne s’est rien passé, comme si c’était nécessaire, comme pour le distinguer d’avec son autre enfant adoptif. Est-ce si dur de comprendre qu’au delà du naturel qui pose pourtant l’évidence, la recherche effrénée de soi, le même, par opposition à l’autre sexe, soulève un problème psychologique que sa non reconnaissance rend encore plus difficile à résoudre. On décèle chez le DSK qui "préfère la chaire fraiche" la perversion latente, on dénonce le consumérisme matchiste, mais chez cet autre genre de furoncle rabougris, on ne voit que les frasques joyeuses de la grande tante. Hélas, il est le symptôme d’un mal Français autrement plus important que celui de Perrefite : lorsqu’un traditionalisme s’enracine dans un humus religieux vicié et suffoquant, il ne peut donner que des fruits malades. Mais que reprocher à Issa ? Son but n’était pas de donner le guide.