Le super négatif : des employés au chômage, des espaces culturels en moins (j’y ai passé beaucoup de temps à y fouiner des tas de choses)
Le bien dans le mal : peut-être que ce sera au bienfait des libraires indépendants qui en ont bien besoin. Selon moi, un bon nombre de libraires indépendants du pays sont loin de voir ça d’un mauvais oeil, et ont tendance à plus ou moins maudire virgin et la fnac depuis des années
Faute à la crise ? Oui et non. Oui sans doute, mais pas seulement. Voilà des années que les modes d’écoute, de lecture etc. ont évolué chez le consommateur sans que ces enseignes ne s’adaptent
Par ailleurs, pourquoi aller à dans un magasin plutôt que de commander sur le net ?
Par que dans une boutique, on a un rapport humain. On peut parler à quelqu’un qui peut nous conseiller, nous parler de ce qui lui plait, etc. OR : à virgin comme à la fnac, les vendeurs sont trop souvent (étaient, dans le cas de virgin) pas du tout passionnés par leurs rayons. Les teneurs du rayon BD sont-ils des passionnés de BD ? Ceux du rayons livres pour enfants lisent-ils des livres pour enfants ?
Oui, parfois... dans mes expériences : non, souvent.
CQFD !