"Le divorce définitif entre Jacques Vergès, résistant gaulliste dans sa jeunesse, et la bonne conscience française intervient quand il défend le nazi Klaus Barbie. Provocateur, il froisse le récit national français. Et ose comparer les pratiques hitlériennes… à celles du colonialisme français."
Pour commencer, on peut dire qu’il n’a pas tout-à-fait tort, ces "fruits empoisonnés" ont poussé sur le même arbre, nourri à une même et unique idéologie, laquelle a pris naissance au sein de la soi-disante "révolution française", qui a promut la "terreur" comme modèle universel !
Toutefois, si la France a certainement été le "lieu" de cette irruption "satanique", ce n’est pas un hasard, elle a été choisie... mais l’on ne peut certainement pas dire que le peuple français est le concepteur de cette idéologie, il s’en faut de beaucoup.
Une secte ténébreuse, étrangère à la "France éternelle" a malheureusement pris la France en "otage" et discrédite, jusqu’à nos jours le génie français.
Le peuple français n’a jamais été à proprement parlé "raciste", issu lui-même de nombreux mélanges merveilleusement assimilés. Il doit cependant se tenir en garde contre les couleuvres que l’on désire lui faire avaler en falsifiant l’histoire !
Maître Vergès, quant à lui était un homme très cultivé. Il aimait la France et connaissait en profondeur l’histoire de son pays et ce d’autant plus qu’il combattait, à travers les différents procès qu’il a mené, "ceux" qui vraiment n’ont jamais aimé la France car on les voit corrompre et défigurer de mille manières, le visage de ce beau pays.
Je ne sais pas si Maître Vergès connaissait E&R et son fondateur Alain Soral, mais je suis "presque sûre" qu’il aurait aimé le défendre. Dommage qu’il nous ait quitté...
Cordialement,
Anissa