Confession d’un dragueur : en quête d’une fraternité perdue
27 août 2013 13:16, par Simone Choule
Une nouvelle génération de critiques arrive et tente de chasser les méfaits de la génération Gérard Lefort, Serge Kaganski et de leurs dogmes bien pensants obligatoires à penser....et avec le temps (sublime révélateur de tout art) le film se montre passant bien les années, d’un ton assez original (à relier avec Eustache aussi) et plutôt pertinent sur les rapports H/F et de classe. Très bonne critique en effet merci Ludovic Maubreuil.