Les mots ne trompent pas : "Gazer", "crime contre l’humanité", "résistants" (dans d’autres médias). On ne change pas une recette qui gagne.
Le drame, c’est que les politiquent franchissent le point de non retour : s’ils n’interviennent pas à présent, ces mots seront désacralisés. Et ça n’est pas acceptable.