Pourquoi les Asiatiques ont-ils les yeux bridés et les Africains les cheveux crépus ?
2 septembre 2013 12:31, par frédéricJe tente une troisième fois de poster un message sur le sujet abordé dans cette vidéo qui est des causes de la différenciation morphologique entre groupes d’êtres humains.
Je suis extrêmement surpris de voir que mes deux premiers messages ne sont pas passés. Je ne pensais pas, en effet, qu’ER, que j’apprécie beaucoup comme site « non politiquement correct » justement, effectuait de censure sur ces sujets.Mon post se contentait de faire un renvoi vers le site suivant, sans préciser d’ailleurs si j’étais ou non en total accord avec les vues qui y sont développées :
http://www.intelligence-humaine.com...
Les thèses défendues sur ce site, à l’appui d’études scientifiques diverses, sont, à la louche, que oui, il existe des différences morphologiques entre groupes humains qui, pour des raisons diverses, ont connu des périodes d’éloignement prolongé, depuis la sortie d’Afrique.Cela, un enfant de 4 ans pourrait s’en rendre compte.
Or, il semble que, même sur ce premier constat, une sorte de « tabou » existerait. De même qu’on ne pourrait plus dire, dans notre société, que le papa et la maman c’est pas pareil (sinon on est taxé de misogynie), on ne pourrait plus dire qu’un Chinois et un Congolais n’ont pas le même morphotype. Evidemment, en filigrane, l’idée est que, dans notre société, dès qu’on pose le constat d’une différence on est taxé de racialisme ou de divers vocables en –isme (dont « antisémitisme » bien sûr, même si ça n’a rien à voir).
L’intérêt supplémentaire de ce site est d’ouvrir la réflexion sur deux autres traits différenciateurs qui dépassent la simple question morphologique : il s’agit des traits « comportementaux » ou « neurologiques » (tests de QI, taille mesurée – et totalement indéniable, du cerveau –).On se demande bien en effet pourquoi des différences morphologiques ne s’accompagneraient pas de différences neuronales ou comportementales. Là aussi, un enfant de 4 ans pourrait s’en rendre compte.
Pourquoi serait-ce un « tabou des tabous », le crime des crimes en somme, de poser un constat clair, qui est, si on y réfléchit bien, le contraire justement du racialisme.
Connaître nos différences c’est justement apprendre à les respecter.
Le dernier point intéressant dans ce site, et qui pourrait faire là encore l’objet d’une discussion, est le côté « prévision des évolutions », qui montre que, en raison de sa politique d’immigration, les Etats-Unis ont un QI national qui baisse régulièrement, ce qui laisse entrevoir